Lors de la vérification de la transaction, le système s'assure que les règles suivantes sont respectées :
Il ne faut pas de format de sous-fichier (formats "*1" à "*9") en première ou en dernière ligne de l'écran.
Il ne faut pas de format morcelé : un format ne peut pas en inclure un autre.
Il ne doit pas y avoir deux zones variable ou variable utilisateur ayant le même nom court et/ou le même nom à l'intérieur d'un même format (aussi bien pour les variables que pour les zones cachées).
L'utilisateur est prévenu si un format est déjà utilisé dans une autre transaction du même programme.
Dans une transaction de type fenêtre, si plusieurs lignes sont d'un format SFL (*1 à *9), les zones ne doivent être situées que sur la première ligne de ce format ; les autres lignes du sous-fichier doivent rester vides.
Dans une transaction de type écran, le nombre de lignes de format SFL doit être un multiple du nombre d'enregistrements.
Une touche de fonction qui n'est pas définie au niveau du programme ne peut être définie différemment dans la transaction (si la touche F6 est définie comme CA dans une transaction, elle ne peut apparaître dans d'autres transactions de ce même programme que sous cette définition).
Un cadre ne doit pas commencer ou se terminer sur un format SFL (*1 à *9).
Dans une transaction de type fenêtre, on ne peut utiliser qu'un seul format SFL.
L'utilisateur est averti si une variable est en entrée dans un format de type SFL d'une transaction fenêtre.
Deux formats de sous-fichier de codes différents dans une même transaction doivent être séparés par un format de contrôle.
Les formats de référence définis dans une entité logique utilisée doivent exister dans la transaction.
Si le format de référence d'une entité logique est un format écran, le type de chargement doit être "Aucun" dans la boîte de dialogue Modifier les entités logiques.